Mes Passe-Temps

Pour mon dernier blog, j’écris sur mes choses préférées! Avoir des passe-temps est très important parce que ça fait du bonheur et tu apprends de nouvelles choses. J’ai eu de nombreux passe-temps, alors je vais vous en parler et combien de temps j’ai fait ce passe-temps.

Mon premier passe-temp était le théâtre, j’ai adoré jouer depuis l’école primaire. J’ai participé à de nombreuses pièces* de théâtre comme « A Streetcar Named Desire » et même «Winnie-the-Pooh! » Ce passe-temps est difficile parce que c’est beaucoup de travail, tu dois mémoriser beaucoup de lignes et être sur scène* peut faire peur. C’est toujours le meilleur sentiment quand tu finis une pièce! Ce passe-temps n’est plus mon préféré maintenant, parce que mon anxiété—mais j‘espère qu’un jour je pourrai être dans une pièce de théâtre.

Le montage vidéo* est un autre grand passe-temps, quand tu n’aimes pas avoir l’attention. Le passe-temp est un peu cher parce que il faut une caméra vidéo et un logiciel de montage.* Je filmé des vacances ou des gens et je fais une vidéo artistique avec la musique, eh bien je pensais que c’était artistique! Mes amis et moi ferions des films, mais c’est difficile de faire ça maintenant quand tout le monde a une vie. Mais tu peux trouver des séquences vidéo* gratuites pour toi pratique au montage. J’ai un Macbook, il a un logiciel de montage vidéo et il est simple et facile à utiliser. Adobe est cher et plus compliqué, mais il peut faire plus avec des effets spéciaux! J’ai pris un cours « Beowulf » et pour le projet final j’ai écrit un script et fait une bande-annonce,* je l’ai fait dans le genre du film noir avec ma famille. Ce n’est pas le meilleur, mais c’est ici si tu veux regarder: https://youtu.be/VHWiLWF3Rrw

Je vais parler de quelques passe-temps, parce que ils n’ont pas duré longtemps ou c’est ma vie maintenant: le tricot,* les plantes (oui je pense que c’est un passe-temps) et écrire un journal. Le tricot est bon si vous avez besoin de quelque chose à faire avec vos mains, quand tu regardes la télévision, etc. Je peux faire des carrés,* mais rien d’autre, donc je peux faire une petite couverture! Oui je me suis ennuyé très vite. Maintenant les plantes, j’aime mes plantes comme des bébés. J’avais l’habitude de penser que tu étais bon ou mauvais avec les plantes, mais il faut de la pratique et connaissances. Maintenant, mes plantes ne meurent pas! J’essaie d’écrire dans un journal et j’adore acheter des journaux, mais j’oublie toujours d’écrire. En ce moment, je fais du journal de collage! j’adore les autocollants,* mais j’ai peur de les utiliser, donc le journal de collage est bon pour collectionner* et utilise des autocollants.

Maintenant, je vais parler de mon passe-temps le plus étrange. J’adore Nancy Drew, alors je collectionne tout. J’ai presque toutes de nouveaux livres, mais j’essaie de collectionner les livres des années 1930. Ils sont différents, les vieux livres ont plus de chapitres et Nancy est féministe! En 1959, quelqu’un a changé tous les livres, quelqu’un a écrit Nancy pour être plus poli et moins indépendant—elle a besoin de plus d’aide des hommes comme Les Hardy Boys et son petit ami Ned. Dans les années 1930, il y avait quelques courts métrages inspirés des livres. C’est mon film préféré de Nancy Drew, mais malheureusement un épisode est raciste, donc je ne regarde pas cet épisode. Mon passe-temps préféré de Nancy Drew est les jeux vidéo! C’est un jeu où tu résous* un mystère et il y a des casse-tête,* c’est un jeu de «point and click.» Mon mystère préféré s’appelle «Treasure in the Royal Tower,» c’est un mystère sur le secret de Marie Antoinette! Les jeux sont éducatifs, amusants et certains jeux sont difficiles! Si tu es intéressé, tu peux trouver les jeux sur Steam.

Eh bien, c’est ça, la plupart de mes hobbies. J’espère que tout le monde passe un bon été/automne! Bonne chance avec le trimestre d’automne et merci pour le merveilleux cours de français!

Vocab

Pièces— Plays

Scène— Stage

Montage Vidéo— Video Editing

Logiciel de Montage— Editing Software

Séquences vidéo— Video Footage

Bande-Annonce— Film Trailer

Le Tricot— Knitting

Des Carrés— Squares

Les Autocollants— Stickers

Collectionner— Collecting

Résous— Solve

Casse-Tête— Puzzles

Kabba’s Kitchen à Portland 

Il y a trois semaines, mes amis et moi sommes allés dans un restaurant dans notre quartier. S’appelle Kabba’s Kitchen et l’homme et la femme servent les repas Sénégalais. Ce pays dans l’Afrique ouest a une longue histoire de cuisine. Mes amis et moi aurions habité au nord-est Portland toute nos vies mais nous n’aurions jamais visité ce restaurant. C’était notre première fois. Le restaurant était sur la rue MLK depuis environ un an mais ils changent récemment de place et maintenant ils sont sur la rue Nord Albina.  En vrai, il n’est pas exactement un restaurant comme les autres. Les propriétaires n’ont pas un édifice. Ils préparent la nourriture dans un bus. C’est normal à Portland pour de nouvelles entreprises. Le bus était très beau et propre. Il aurait été peint avec leur nom. Il y avait des places assises en plein air sous un parapluie. Il faisait beau alors nous étions heureux d’être en plein air. Pendant l’hiver, je pense qu’ils ont un radiateur.

Les chefs étaient très occupés à travailler dans la cuisine—il y avait cinq autres clients là en même temps. Mais la nourriture a été prête très rapidement. Ça été bon parce que j’avais faim. J’ai mangé un riz spécial avec un morceau d’agneau. Le riz était marron et petit contrairement au riz que je mange typiquement. Mon ami a mangé des crevettes dans un sandwich! D’habitude, je ne vois pas de crevettes sur un sandwich mais mon ami Cody a dit que le sandwich était délicieux. Le menu inclut beaucoup de choix comme tout poisson. J’ai bu une eau gazeuse. Après le repas, je veux jouer au basket mais j’étais plein de nourriture. Les prix étaient bas pour la qualité du repas. Parce que leur nourriture est très bonne, je crois que ce restaurant serait très populaire. Peut-être qu’un jour ils vont acheter un édifice fixe. Les places assises ont été confortable mais si tu préfères manger chez toi, Kabba’s Kitchen a livraison. Tout le monde peut commander un repas sur un ordinateur. 

Il est dans un bon endroit. Je peux faire mon vélo de chez moi. Si tu ne restes pas à Portland mais conduit à travers, Kabba’s Kitchen n’est pas trop loin de l’autoroute 5. Ils sont ouverts de mardi à samedi jusqu’à 8 heures du soir.  L’autre deux jours, ils doivent se préparer et se reposer alors ne visite pas dimanche et lundi. 

 Les propriétaires ont parlé français mais j’ai oublié d’utiliser mes compétences avec eux parce que j’ai été enthousiaste pour mon repas. Peut-être que j’irai à Kabba’s Kitchen pour une deuxième fois et parlerai avec les propriétaires en français. Ils étaient sympathiques et je suis confiant qu’ils auraient de la patience avec moi. C’est une bonne raison pour moi d’étudier! Il n’y a pas beaucoup de personnes qui parlent français ici alors je suis heureux que mon nouveau restaurant préféré soit aussi un endroit où je peux améliorer ma langue. S’il vous plaît visite Kabba’s Kitchen la prochaine fois que tu es à Portland.  

 

Vocabulaire:

Seating- places assises 

heater – radiateur 

Lamb- agneau

Painted – peint 

Carbonated – gazeuse

Delivery – livraison

Interstate- autoroute 

Effets des ouragans sur les communautés défavorisées

Alors que les ouragans peuvent affecter négativement chaque communauté, les communautés à faible revenu et minoritaires sont plus vulnérables aux risques de catastrophes naturelles et luttent le plus pour se remettre. Les bâtiments de ces communautés ne sont pas aussi solides et la façon dont les maisons abordables sont mal construites et risquent de subir les pires effets des grosses tempêtes.

Lorsque les gens sont capables d’aider les communautés après des ouragans, ils ont tendance à servir les communautés les plus privilégiées. Cela laisse d’autres communautés souffrir et devoir gérer la destruction par elles-mêmes. Ces dangers ne sont pas traités rapidement et leur réparation prend parfois des années. Ces communautés sont laissées à elles-mêmes pour faire face aux dangers qui les entourent, y compris l’eau qui remplit les rues et est pleine de déchets et de pollution.

Un autre problème qui se pose avec les catastrophes naturelles est que les informations ne couvrent pas les dommages qui se produisent dans les communautés marginalisées. C’est un problème parce que souvent ces tempêtes affectent beaucoup plus les communautés pauvres et ne sont pas abordées dans les médias, qui n’attirent pas l’attention des autres communautés.

Malheureusement, ces communautés n’ont pas toujours l’argent ou le matériel pour évacuer ou reconstruire le danger et les effets des ouragans. Cela les expose à des vulnérabilités qui existent en raison des inégalités systémiques.

Avec le récent ouragan en Louisiane, les vents violents et les fortes inondations ont causé des dommages catastrophiques. les souffrances et les dommages sont immenses et continueront d’affecter les communautés de couleur pendant des semaines et des mois. Malheureusement, les risques ne sont pas égaux pour toutes les communautés, car le logement pour les communautés à faible revenu n’est pas aussi solide. Cela crée un gros problème parce que les gens n’ont nulle part où aller. Cela est particulièrement vrai pour les personnes qui vivent près de la côte où le niveau des eaux monte, forçant les gens à se déplacer vers l’intérieur des terres.

Be Here, Bí Thiar – English/Irish/French translation!

Pour mon blog final, je vous présente une double traduction ! Voici un poème original que j’ai écrit après l’annulation de mon voyage en Irlande l’été dernier. C’est ma première essai d’écrire un poème en utilisant quelques mots irlandais, ce que j’espère faire de plus en plus à l’avenir lorsque je pourrai apprendre plus d’irlandais.

D’abord, je vais vous donner la version originale du poème, qui est principalement en anglais avec quelques mots irlandais.
Ensuite, je vais vous donner la traduction française du poème.
Enfin, je vais vous donner la traduction irlandaise. Je ne parle pas couramment l’irlandais, donc je ne peux pas promettre l’exactitude de cette traduction, mais j’ai fait de mon mieux !

Vous remarquerez que chaque version du poème est bilingue, certains mots restant en anglais ou en irlandais pour préserver son caractère bilingue.

Si vous avez des questions sur ce poème, n’hésitez pas à laisser un commentaire !


Be Here, Bí Thiar 

I stand the farthest west I have been in over a year,
up to my ankles in ocean, the deepest I can go
without soaking my clothes,
and stare farther west than I’ve ever been.

I listen for the whisper of home in the headwind,
wait for the thunder of hooves in the hissing foam, but I know.
I know there are no capaill in these waters–
this uisce Pacific rófhada, too far,
ró-chiúin, too quiet, I know.

So I stand with a fistful of promised land,
let Tír na nÓg sift through the sieve of my fingers
and find myself thinking of Oisín again,
aigéin, oceans away
and the capall that carried him west
to bí thiar in éineacht le Niamh Cinn-Óir.

I think of my great-great-great-grands
on the wild Atlantic shore:
the wind at their backs,
and their sacks full of geasa and famine,
and across the sea the lady of amber waves
is beckoning, beacon-hand high,
no choice left but to board the next boat going west,
from Cork to New York
and beyond,
to be here, where I am now.

But something,
something plucks the harp strings of the heart,
strikes a homesick note, unfiltered
and bewildering,
turns Oisín’s eye from fields of gold,
mine from the horizon and whispers
Téigh abhaile,
ní hé seo an baile,
go home.

And I wonder,
after 31 years of I’d love to go someday,
when the next flight leaves, will I catch it at last?
And when I land,
when I stand ar an gcósta thiar eile,
that other west coast,
farther east than I’ve ever been,
will it feel like coming home?
Will I bury my New Irish bones in the talamh,
the land of my grandads?

When my feet find the earth
and I age a hundred years for every one
I’ve been away–
brittle-boned and wither-skinned,
each nut-brown hair at last
the silver lining
I’ve been looking for–

what will I say?

What will I say to the saint
that sits at my bedside
waiting to take down my story?

What myth will I leave
in the time that I have,
of the time it has taken
to be here?

 

Être ici, soyez à l’ouest

Je me tiens le plus à l’ouest depuis plus d’un an,
jusqu’à mes chevilles dans la mer, le plus profond que je peux aller
sans tremper mes vêtements,
et je regarde fixement plus à l’ouest que je ne l’ai jamais été.

J’écoute le murmure de la maison dans le vent de face,
J’attends le tonnerre des sabots dans l’écume sifflante, mais je sais.
Je sais qu’il n’y a pas de chevaux dans ces eaux-
cette eau Pacifique rófhada, trop loin,
ró-chiúin, trop calme, je sais.

Alors je me tiens avec une poignée de terre promise,
je laisse Tír na nÓg passer au crible de mes doigts
et je me surprends à penser encore à Oisín,
aigéin, loin des oceans
et le cheval qui l’a porté à l’ouest
pour être à l’ouest avec Niamh Cinn-Óir.

Je pense à mes trois-fois-arrière-grands
sur la côte sauvage de l’Atlantique :
avec le vent dans le dos,
et leurs sacs pleins de malchance et de famine,
et à travers la mer la dame des vagues d’ambre
fait signe, phare haut.
N’ayant plus d’autre choix que de monter
sur le prochain bateau qui va ouest,
de Cork à New York
et après,
être ici, où je suis maintenant.

Mais quelque chose,
quelque chose pince les cordes de la harpe de mon cœur,
il sonne une note nostalgique, non filtrée
et déroutant,
il détourne l’œil d’Oisín des champs d’élysée,
mes yeux de l’horizon et il murmure
Téigh abhaile,
ní hé seo an baile,
rentrez chez soi.

Et je me demande,
après 31 ans de j’adorerais y aller un jour,
quand le prochain vol partira, l’attraperai-je enfin ?
Et quand j’atterris,
quand je me tiens ar an gcósta thiar eile,
cette autre côte ouest,
plus à l’est que je ne l’ai jamais été,
ce sera comme revenir chez moi ?
enterrerai-je mes os néo-irlandais dans le talamh,
la terre de mes grands-pères ?

Quand mes pieds trouvent la terre
et je prends de l’âge cent ans pour chacun
je suis parti-
quand j’ai les os cassants et la peau sèche,
quand chaque cheveu noisette est enfin
le bon côte
que j’ai cherché –

que dirai-je ?

Que dirai-je au saint
qui est reste à mon chevet
en attendant de noter mon histoire?

Quel mythe laisserai-je
dans le temps que j’ai,
du temps qu’il a fallu
être ici?

 

Bí anseo, Bí Thiar

Seasann mé níos mó thiar ná mar a bhí mé le breis agus bliain,
go dtí mo rúitíní san fharraige,
chomh domhain is féidir liom dul
gan mo chuid éadaigh a fhliuchadh,
agus táim ag stánadh níos faide siar ná mar a bhí mé riamh.

Éistim le haghaidh cogar an bhaile sa ghaoth,
táim ag fanacht le toirneach crúba i siosarnach na taoide, ach tá a fhios agam.
Tá a fhios agam nach bhfuil capaill sna huiscí seo-
tá an t-uisce seo den Aigéan Ciúin too far, rófhada,
too quiet, ró-chiúin, tá a fhios agam.

Mar sin seasaim le dorn de tír tairngire,
lig mé do Thír na nÓg criathrú trí chriathar mo mhéara
agus táim ag smaoineamh ar Oisín arís,
oceans, aigéin ar shiúl
agus an capall a thug siar é
a bheíth thiar in éineacht le Niamh Cinn-Óir.

Smaoiním ar mo sin-sin-sin-seantuismitheoirí
ar chladach an Atlantaigh fhiáin:
leis an ghaoth ar a ndroim,
agus a gcuid saic lán le geasa agus gorta,
agus trasna na farraige bean na dtonnta ómra,
tugann sí comhartha dóibh, lena rabhchán go hard,
níl aon rogha fágtha ach dul ar bord an chéad bháid eile ag dul siar,
ó Chorcaigh go Nua Eabhrac
agus ina dhiaidh sin,
a bheith anseo, áit a bhfuilim anois.

Ach rud éigin,
piocann rud éigin teaghráin chláirseach an chroí,
buaileann sé nóta de cumha, gan athrú
agus mearbhlach,
casann sé súil Oisín ó pháirceanna óir,
mo shúile ón fhíor na spéire, agus deir sé i gcogar
Go home,
this is not home,
téigh abhaile.

Agus níl a fhios agam an bhfuil
tar éis 31 bliana de ba bhreá liom dul lá éigin,
nuair a fhágfaidh an chéad eitilt eile, an mbeidh mé air?
Agus nuair a tháinig mé i dtír,
nuair a sheasfaidh mé on that other west coast,
ar an gcósta thiar eile, níos faide soir ná mar a bhí mé riamh,
an mbraitheann sé mar theacht abhaile?
An gcuirfidh mé mo chnámha Nua-Éireann in the ground,
an talamh mo sheanathair?

Nuair a bhuaileann mo chosa an talamh
agus aois mé céad bliain do gach aon
bhí mé ar shiúl-
nuair a bhíonn mo chnámha briosca agus mo chraiceann rocach,
nuair a bhíonn gach gruaig cnó-donn faoi dheireadh
an líneáil airgid
a bhí á lorg agam-

cad a déarfaidh mé?

Cad a déarfaidh mé leis an naomh
a shuíonn ag taobh mo leapa
ag fanacht le mo scéal a scríobh?

Cén miotas a fhágfaidh mé
san am atá agam,
den am a thóg sé
a bheith anseo?

-Mia Vance

Un peu d’histoire et critique d’Albert Camus

La couverture de The Plague, The Fall, Exile and the Kingdom, et Selected Essays d’Albert Camus.

Mon histoire avec Albert Camus n’est pas longue, mais c’est une histoire que je suis content d’avoir. Albert Camus était un écrivain, journaliste et philosophe, parmi ses nombreux autres talents. L’un de ses essais les plus célèbres s’intitule Le mythe de Sisyphe où il explique “l’absurde”, le suicide et la mort. J’ai lu cet essai et je vais vous dire que c’est l’équivalent mental d’avaler de la sciure de bois. C’est très sec et je ne peux pas dire que je le comprends vraiment du tout.

J’ai découvert Camus pour la première fois en 2015. J’avais le choix entre deux cours d’anglais ou de philosophie. Naturellement, j’ai choisi l’anglais, mais je ne savais pas que le cours était donné par le ne professeur qui enseignait aussi la philosophie et qui se trouvait justement être le président de la section américaine de la Camus Society. Oui, les gens, j’ai fini par étudier la philosophie pendant un semestre de toute façon et je ne peux pas dire que j’en suis folle du tout.

Il y a deux pièces particulières de Camus qui m’attirent. Le premier est The Plague (cette nouvelle est redevenue très populaire à cause de COVID) et The Fall. J’apprécie ces deux histoires pour différentes raisons ; The Plague à cause de l’histoire qui se cache derrière et The Fall parce que j’apprécie simplement l’histoire et les significations sous-jacentes qui vous donnent de nouvelles façons d’interpréter l’histoire.

Il y a deux pièces particulières de Camus qui m’attirent. Le premier est The Plague (cette nouvelle est redevenue très populaire à cause de COVID) et The Fall. J’apprécie ces deux histoires pour différentes raisons; The Plague à cause de l’histoire qui se cache derrière et The Fall parce que j’apprécie simplement l’histoire et les significations sous-jacentes qui vous donnent de nouvelles façons d’interpréter l’histoire.

Lorsque cette histoire a été publiée, les Allemands, plus important encore, les nazis, ont adoré l’histoire et l’ont louée comme étant excellente. La chose qu’ils ne savaient pas, c’est que l’histoire était basée sur la prise de contrôle de l’Europe par les Nazis; leur présence étant caractérisée par les rats qui prennent le relais et propagent la peste. Je ne sais pas s’ils l’ont vraiment découvert, mais cela fait une bonne histoire.

The Fall est un peu différent de The Plague, mais il n’en est pas moins intéressant. À première vue, The Fall ressemble simplement à l’histoire de quelqu’un qui se rend dans un bar et se fait raconter histoire après histoire par un homme là-bas. L’homme semble arrogant parce qu’il ne semble pas du tout laisser la personne à qui il parle avoir un mot. Mais ce sont les histoires que l’homme raconte qui attirent le lecteur. Qu’il s’agisse d’être témoin d’un suicide et de ne rien faire pour l’empêcher, de jouer à un jeu d’esprit avec l’autre personne sur qui il est vraiment. C’est celui qui m’a constamment fait penser et qui le fait encore à ce jour.

The Fall se déroule à Amsterdam, ce qui en soi n’est pas extraordinaire, mais lorsque l’homme commence à parler d’Amsterdam, le lecteur peut commencer à faire des parallèles avec les cercles de l’enfer et avec “La Divine Comédie” de Dante. Quand on fait des recherches sur Amsterdam en regardant des plans de la ville, c’est à peu près construit comme une spirale. Ainsi, la comparaison avec les niveaux de l’Enfer n’est pas trop éloignée.

Je ne veux pas en dire trop sur ces deux histoires, mais je suggérerais de les lire si l’on est si enclin. Quand j’ai découvert Camus pour la première fois, je n’avais pas du tout hâte d’avoir à lire la philosophie française, mais une fois que je suis entré dans la matière, c’est tellement plus. Je lis encore Camus à ce jour strictement pour le plaisir. Vais-je relire Le mythe de Sisyphe à nouveau? Probablement pas, mais vais-je relire ses autres nouvelles et en lire d’autres pour la première fois? Absolument!

 

Vocabulaire

l’équivalent mental d’avaler de la sciure de bois – the mental equivlant of swallowing sawdust

m’attirent – attracted me to

redevenue – become/became

sous-jacentes – underlying

louée – praised

s’agisse – be a matter of/be a question of

constamment – constantly

l’Enfer – Hell

éloignée – far away

enclin – inclined/incline

Le Festival de Musique: Outside Lands

Un sujet qui me passionne beaucoup est la musique. Depuis que je suis petite, j’ai toujours aimé écouter tous les genres de musique.

Quand j’étais plus jeune, ma mère jouait du piano la nuit. C’était si paisible. Bien que j’aime écouter de la musique, je ne joue aucun instrument. J’avais l’habitude de penser que j’étais un bon chanteur quand j’étais enfant, mais maintenant je sais que je ne le suis pas. Cela ne veut pas dire que je n’aime pas chanter. J’étais dans une chorale où nous nous produisions tous les jeudis. J’espère qu’ils ont éteint mon micro ! En vieillissant, j’étais souvent trop occupé à faire du sport et je n’ai donc jamais appris à jouer d’un instrument. Bien qu’un jour, quand j’aurai un enfant, je les mettrai instantanément dans des cours d’instruments. Je crois que les gens qui jouent des instruments sont très intelligents. 

J’ai fait beaucoup de recherches sur ce sujet et beaucoup pensent qu’ils ont des similitudes. Jouer d’un instrument apprend à quelqu’un à être patient et persévérant. Si je pouvais choisir un instrument pour jouer, ce serait le violon. Je pense que ça sonne si beau.

Bien que je ne joue d’aucun instrument, j’ai assisté à de nombreux festivals de musique parce que j’aime toujours écouter de la musique. Le premier festival de musique auquel j’ai assisté s’appelait “Outside Lands”. Ce festival de musique réunit toutes sortes de musiques et d’interprètes. Le festival est situé à San Francisco, en Californie. C’est un festival de trois jours plein de musique, de nourriture et de danse. J’ai dû prendre l’avion de Portland à San Francisco, puis mes amis sont venus me chercher. Nous sommes allés à l’hôtel et avons commencé à nous préparer. De l’hôtel, nous avons dû prendre un taxi pour le festival. Nous avions tous tellement d’énergie et d’excitation parce que nous attendions cela avec impatience depuis des mois. Quand nous sommes arrivés, il y avait des milliers de personnes autour. Le temps était parfait et le soleil brillait. Tout le monde autour de moi était si heureux et je sentais l’énergie dans l’air. En entrant, nous nous sommes promenés pendant un moment en regardant tous les vendeurs et les œuvres d’art. Une particularité de Outside Lands est la variété de choses à faire et à voir. Vous pouvez choisir d’écouter de la musique, de manger de la nourriture délicieuse ou de vous promener et de regarder l’art. Après avoir marché et essayé de décider quoi manger, j’ai dépensé 15 dollars pour un sandwich ! Je sais que cela ressemble à de l’argent, mais la nourriture de cet événement en vaut la peine. Tout est local donc j’aime soutenir les petits entrepreneurs. Ensuite, nous avons pu écouter certains de nos artistes préférés et danser toute la nuit. J’aime les événements comme celui-ci parce que vous pouvez sentir l’énergie et l’amour dans l’air de chacun.

La musique, pour moi et pour les autres, c’est une évasion à vie. Si jamais je suis triste, je mets de la musique pour m’aider à me sentir mieux et c’est pourquoi les festivals de musique sont les meilleurs. Que demander de plus à part danser avec vos amis, manger de la bonne nourriture et écouter de la musique que vous aimez. J’ai passé un moment formidable à ce festival de musique et j’espère pouvoir un jour y retourner.

 

 

  1. En vieillissant: In getting older

2. C‘est une évasion à vie: It is a life-long escape