Avis de decès

EMMANUEL KOFI AGORSAH (1943-2022)

Dr. E. Kofi Agorsah passed away in Ghana on August 3, 2022, at the age of 78, following a long battle with cancer. He was Professor Emeritus of Black Studies and International Studies and Former Chair of Black Studies in the College of Liberal Arts and Sciences, Portland State University, in Portland, Oregon.

Like many early African scholars in the generation after independence, Kofi first worked as a tutor and teacher in geography and ancient history at the local teacher training college in Tumu, Upper West Region, Ghana, in the 1960s. His first foray into the field of archaeology was in 1970, as an assistant to Bernard Golden of the British Institute. Kofi became a research assistant to Golden during the excavation of Fort Orange in Sekondi. With this training, he was able to join the fieldwork of Bassey Andah and Merrick Posnansky, both at the University of Ghana, Legon, in the early 1970s. Kofi was quick to appreciate the role of the archaeological record in rewriting the history of the new nation state of Ghana. His pioneering career in world heritage studies came into focus as he became a regional Assistant Keeper and then the Keeper-in-Charge of the Ghana Museums and Monuments Board, Ghana National Museum in Accra, Ghana (1973-76). He completed his MA (African Archaeology, University of Ghana, Legon, in 1976) on the archaeology and oral traditions of the Begho (Hani, Brong-Ahafo) area, working with Dr. Merrick Posnansky, who later moved to the University of California, taking Kofi with him as a graduate research assistant in 1979. Kofi Agorsah’s PhD dissertation (Archaeology, UCLA, 1983) was an ethnoarchaeological investigation and community study of the Nchumuru resettlement after the construction of the Volta River’s Akosombo Dam. It was published in the prestigious journal Current Anthropology and later as a 2003 monograph. He became the Senior Lecturer in the Department of Archaeology and Curator-in-Charge of the Museum of Archaeology at the University of Ghana (1983-86).

Between 1987 and 1992, Kofi taught and developed archaeological training programs for the University of the West Indies, Mona (Kingston, Jamaica), where he assumed the Moulton-Barrett Lectureship in Archaeology and accomplished furthered outreach to other islands. Best known for his pathbreaking research on Jamaican Maroons, Kofi became an island celebrity when he and his research team were helicoptered into the rugged terrain of the Blue Mountains by the Jamaican National Defense Force in order to begin a long-term study of African continuities in the surviving and historic Maroon communities comprised of African freedom fighters who had resisted slavery to forge their own societies.

After joining the faculty of Portland State University in 1992, Kofi’s teaching, consulting, and research projects still took him to West Africa, South Africa, the Indian Ocean (Mauritius), Brazil, Surinam, and many other parts of the Caribbean and the world. His stories from the field mesmerized and inspired many students and colleagues alike. He expanded his study of African resistance, traveling by canoe and fighting caimans (crocodiles) and poisonous snakes to access the archaeological sites near the Maroon communities of Surinam. Kofi was a generous collaborator, a brilliant and hardworking scholar, and a kind and humble human being. He leaves behind a formidable legacy of scholarship, including classic works in the fields of Maroon Heritage Studies, African cultural adaptation and resistance studies, dozens of book chapters, edited, co-edited, and single-authored books, and peer-reviewed articles.

He worked tirelessly for many institutions and organizations, including the African Burial Ground Project of New York, The International Association for Caribbean Archaeology, the African Caribbean Institute of Jamaica, Jamaica National Heritage Trust, the Caribbean Studies Overseas Program of Portland State University, Earthwatch Institute, National Geographic Society, National Science Foundation, and many more. He was a Visiting Professor at the University of Cape Town (2000) and Fulbright Senior Scholar at the University of Cape Coast (2007-08).

Kofi Agorsah’s final research project was fittingly the identification and excavation of the historic and elusive Kormantse, an archaeological site in coastal Ghana, a living community, and an ethnic identity of critical pride and meaning to both West Africans and African descendants in the Diaspora (published in the Journal of African Diaspora Archaeology and Heritage, vol. 10, 2021).

He is survived by his beloved wife Monica, sons Patrick and Delali, daughter Yaavic (Victoria), son Maxwell, five grandchildren, one great-grandchild, and countless students, friends, and colleagues around the world. He will be sorely missed.

A Tribute to Dr. E. Kofi Agorsah will be held on Saturday, September 24, 2022, at 12 noon, on the campus of Portland State University in Portland, Oregon. Funeral arrangements are pending for early October, in Ghana, and for a scholarship in his name (contact Dr. Candice Goucher cgoucher@wsu.edu).

–Written by Candice Goucher

R. CHRISTOPHER GOODWIN (1949-2022)

Le Dr R. Christopher « Chris » Goodwin est décédé le 18 février à l’âge de 73 ans. Il était le fils de feu Harold Leland Goodwin et d’Elizabeth Ingëborg Svensk Goodwin de la banlieue du Maryland.

Le Dr Goodwin était un chercheur dévoué et un praticien de l’anthropologie et de l’archéologie, diplômé de l’Université de Tulane (B.A. Honours 1971), de la Florida State University (M.S. 1973) et de l’Arizona State University (Ph.D. 1979). L’une de ses premières écoles de terrain a été réalisée sur l’île de Saint-Kitts dans le cadre de ses études universitaires. L’un des principaux experts nationaux en gestion des ressources culturelles, il était passionné par la préservation du passé, sa pertinence pour aujourd’hui et la création d’un avenir meilleur.

Après avoir été associé de recherche au Yale Peabody Museum et chercheur au Musée national d’histoire naturelle des États-Unis, Smithsonian Institution, le Dr Goodwin a créé R. Christopher Goodwin & Associates, Inc. En tant que président et chef de la direction pour plus Pendant plus de 40 ans, il a dirigé des centaines de recherches archéologiques et de ressources culturelles majeures, y compris des projets sous-marins le long de la côte atlantique, de la baie de Chesapeake, du golfe du Mexique et dans des rivières allant du Connecticut au Mississippi, ainsi que des projets terrestres. dans des régions telles que les îles des Caraïbes, la côte du golfe, le centre de l’Atlantique, les grandes plaines et le nord-est.

Au cours de sa brillante carrière, le Dr Goodwin a reçu de nombreux prix, dont le National Trust for Historic Preservation’s National Preservation Honor Award, le U.S. Small Business Administration’s Administrators Award of Excellence « en reconnaissance de services exceptionnels à la nation », l’archéologue professionnel de l’année de la Louisiane. Award et le prix du mérite 2020 de Preservation Connecticut pour son travail sur les études de planification de la résilience à l’ouragan Sandy sur terre et en mer. Il était un auteur respecté de plus de 500 monographies et rapports techniques, dont l’un des premiers rapports sur les ressources culturelles à Porto Rico, sa première monographie Villa Taino de Borqueron: The Excavation of an Early Taino Site in Puerto Rico, qu’il a co- écrit avec le Dr Jeff Walker qui a été publié en 1975. Ses articles scientifiques ont été présentés dans American Anthropologist, American Scientist, American Antiquity, Florida Anthropologist, Revista Interamericana et le Congrès international d’archéologie des Caraïbes.

À l’été 1974, Chris avait réussi à décrocher un projet de terrain du Boston Explorers Club pour creuser le site de la jetée de l’usine de sucre à Saint-Kitts. Il était composé d’un équipage de lycéens ou de récents diplômés HS – un couple National Merit Scholars. Deux d’entre eux sont devenus des archéologues des Caraïbes – Doug Armstrong et Jay Haviser. Cet été-là, Chris est allé à ses premières réunions de l’IACA. C’était le 5, à Antigua. Les Bullen étaient là avec une foule de fondateurs comme les Petitjean Roget, les Nicholson, Dubelaar et d’autres de la vieille garde des collectionneurs. Rouse n’a pas survécu car il a eu une crise cardiaque alors qu’il était sur le terrain et a dû rentrer chez lui. Mais la vieille garde était accompagnée de leur prodige qui s’était intéressé à l’archéologie et comme Chris qui étudiaient pour devenir archéologues professionnels. Il y avait un cadre portoricain qui comprenait Jeff Walker, Gus Pantel, Antonio (Mao) Ramos, Jose Oliver, Juan-Jose (Pepe) Ortiz-Aguilu, ainsi que des insulaires comme Henri Petitjean Roget, Peter Harris, Aad Boestra, et les continentaux Louis Allaire, Dave Davis, Don Crusoe et un certain nombre d’autres étudiants et afficionados.

Chris était un résident de longue date de la région métropolitaine de D.C. et un amoureux de la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, la ville où il a lancé sa carrière et qu’il considérait comme sa deuxième maison, pour sa cuisine et sa musique ainsi que pour ses habitants et sa culture. Chris laisse dans le deuil sa femme Cyd depuis 43 ans, son fils Scott, sa fille Kristina et son petit-fils Merlin. Il était un mari, un père et un grand-père bien-aimé. Il était un conteur accompli, un mentor et un ami et a contribué à la connaissance de l’archéologie caribéenne. Il va beaucoup nous manquer.

LOUIS ALLAIRE (June 24, 2018)

Je viens d’apprendre par le Docteur Jean Benoist, que notre collègue Louis Allaire est décédé le 24 juin 2018 à Vancouver au terme d’une longue bataille contre de multiples cancers. J’avais
rencontré Louis quand il était étudiant et résident au Centre de recherches caraïbes de l’Université de Montréal, à Fonds Saint Jacques à la Martinique. II était venu effectuer des fouilles pour son doctorat que dirigeait Irving Rouse. M. B. MacKusick avec sa thèse, Distribution of ceramic styles in the Lesser Antilles, West Indies, soutenue à Yale en 1960, avait marqué la naissance d’une archéologie scientifique aux Petites Antilles. Je l’avais suivi avec ma thèse Contribution à l’étude de la préhistoire des Petites Antilles, soutenue en Sorbonne en 1975. Puis Louis avait soutenu la sienne en 1977, « Late prehistory in Martinique and the Island Caribs: Problems in ethnic identification », à Yale sous la direction de Irving Rouse. Après les pionniers que nous étions d’innombrables travaux sont venus compléter, prolonger et même s’opposer aux nôtres.

Pendant des années Louis avait participé aux congrès de l’AIACA. Il y présentait toujours des communications intéressantes qui ont suscité quelquefois de vifs débats avec Rouse ou les Bullen. La justesse de ses conclusions sur les horizons tardifs du saladoïde a mis des années à s’imposer. Louis un peu lassé, désabusé de n’avoir peutêtre pas eu toute la reconnaissance qu’il méritait, avait vendu sa bibliothèque quand il avait pris sa retraite. Il m’avait avoué avoir commis une erreur. Il ne pouvait plus rien produire aucun article faute de documentation. Louis était un homme délicat, cultivé, aimable, un fou d’opéra. Un soir, passablement fatigués par une dure journée passée avec des amis, mon épouse Marie et moi l’avions ramené du Diamant à Balata où nous résidions. Il était si terrorisé par ma conduite sportive au volant de ma Fiat modèle modifié qu’il nous avait chanté l’intégralité de Carmen.

J’étais resté en contact avec lui. Je lui faisais part de mes dernières hypothèses de recherches.
Je lui dois la préface de mon livre archéologie des Petites Antilles paru en 2015. C’est sa
dernière publication. Il répondait toujours à mes courriels, s’efforçant de minimiser le mal qui
le rongeait. Je l’incitais à écrire, à transcrire ses souvenirs, à garder le moral malgré ses
problèmes de santé qui le préoccupaient.

Avec la disparition de Louis, l’un des derniers pionniers en matière d’archéologie des Petites Antilles, c’est toute une période formative de l’archéologie des Petites Antilles débutée avec le Père Pinchon et Jacques Petitjean Roget en 1961 à l’occasion du 1er Congrès International d’Etudes des Civilisations Précolombiennes des Petites Antilles, qui s’est achevée. Le nom Louis Allaire ne doit pas être qu’un nom de plus au bas de nombreux articles. Louis bon voyage dans le monde inversé que tu as rejoint, tu trouveras du ouicou au lieu de bon vin, mange quelques bons captifs et profite bien de la vie éternelle.

Bernard Petitjean Roget

Bernard Petitjean Roget un béké atypique. 2 avril 1946 – 16 février 2014Bernard Petitjean Roget est né le 2 avril 1946 à Idar Oberstein en Allemagne dans la Zone occupée française que commandait son père. Il a fait des études d’Economie et de sociologie et obtenu un doctorat en macro économie. Il avait une passion pour l’histoire économique. Pendant quelques années il a enseigné les Sciences Economiques à l’Institut Vizioz en Martinique. Sur le plan de ses contributions à l’histoire économique de la Martinique, on retient sa passion pour l’histoire de la canne à sucre et l’histoire des usines centrales.

L’intérêt qu’il portait à la période des grandes unités sucrières l’a amené à récupérer et sauver quelques rares archives d’usines. Economiste visionnaire, il avait réussi à mettre en œuvre son idée principale avec la création du groupe industriel Biométal, une filière de production locale de tôles et de tréfilage. Il a été membre et président de plusieurs institutions économiques et sociales, conseiller du Commerce extérieur de la France, Président des PMI de la Martinique.

Parallèlement à ses activités industrielles, Bernard Petitjean Roget s’est aussi intéressé à l’agriculture et à la chimie de transformation de produits agricoles. Jusqu’il y a peu, il travaillait en liaison avec des chercheurs étrangers à un projet révolutionnaire de transformation de résidus de la canne. Bien avant que n’éclate le scandale de la chloredecone, Bernard Petitjean Roget avait attiré l’attention des pouvoirs publics sur les dangers et les risques sanitaires pour la population de la Martinique d’un produit largement utilisé à l’époque dans la production bananière. Toujours passionné par l’approche économique, il avait démonté les mécanismes de la conquête japonaise pour les zones de pêche dans la Caraïbe et exposé les méthodes employées auprès des gouvernements des Etats de la Caraïbes pour s’assurer leurs voix en faveur de la reprise de la pêche à la baleine.

Passionné par l’archéologie de la Caraïbe, il était l’un des membres les plus anciens de l’Association Internationale d’Archéologie de la Caraïbe. Il avait été le trésorier et un mécène pour l’association qu’il avait toujours encouragé tant que ses fonctions à la tête du groupe industriel qu’il avait fondé l’avaient permis. Bernard Petitjean Roget était un homme de convictions et de cœur. Ses prises de position d’homme de gauche résolument engagé pour la promotion de l’identité et du développement de la Martinique, contre le système de l’importation systématique au détriment de la production locale, lui ont valu se sévères inimitiés. Il a lourdement eu à en subir les conséquences jusqu’à un non lieu et un acquittement referme tous les dossiers. Un vrai gâchis.

Bernard Petitjean Roget, était un homme d’engagement, un être généreux dont le principal tord est d’avoir été d’un autre temps, celui de l’honneur, de la morale de la parole donnée et de la recherche de la vérité. Ses enfants Séverine et Cédric peuvent être fiers de lui.

H. Petitjean Roget

Peter O’Brien Harris
Nous avons le regret de vous annoncer que la famille de l’Université de Trinidad et Tobago (UTT) et de l’AIAC a perdu un autre membre en la personne de Peter O’Brien Harris, Membre éminent de l’Academie des Arts des Lettres, de la Culture et des Affaires publiques de l’UTT. Peter est décédé le samedi 18 mai 2013.En 1971 ingénieur des Pétroles auprès d’une grande compagnie d’exploitation pétrolire de Trinidad, Peter Harris s’est passionné très tôt pour la préhistoire de l’île. Il avait présenté sa première communication archéologique au plan international, Preliminary Report on Banwari Trace, Trinidad, à l’occasion du Quatrième Congrès International d’Etudes des Cultures Précolombiennes des Petites Antilles (renommé plus tard l’AIAC) qui s’était tenu à Sainte Lucie en juillet 1971. Peter n’a jamais manqué un seul congrès de l’Association Internationale d’Archéologie de la Caraïbe jusqu’à ce que sa santé ne le lui permette plus. Son amour pour l’archéologie Caribéènne la volonté de précision qu’animait l’ingénieur qu’il était l’a poussé sur le tard à entreprendre des études universitaires en anthropologie et archéologie. Il avait obtenu un Master’s de l’Université de Floride à Gainesville. Il a été l’un des contributeurs les plus importants pour le développement de l’archéologie de Trinidad et Tobago. Quand il était à l’Université de T et T, Peter Harris a été le fer de lance de plusieurs projets fondamentaux. Il avait très récemment encore mis toute son expertise archéologique au service de la détermination de l’origine d’ossements découverts durant la restauration de la Maison Rouge à Port of Spain.

Peter nous manquera beaucoup a l’AIAC, et nous adressons nos plus vives condoléances à son épouse Patricia et à sa famille.

  • Robert Devaux
    Robert Devaux, détenteur de l’Ordre du British Empire, l’un de premiers membres de l’AICA, nous a quitté le 16 avril 2013. Robert était né à Sainte Lucie en 1934. Il a consacré sa vie entière à l’histoire, à l’écologie, à l’étude des paysages et à la culture de l’île. Il a publié plusieurs livres dont les  » Sites historiques de Sainte Lucie « , et en collaboration avec Jollen Harmsen et Guy Ellis, l’ouvrage récemment publié,  » Une histoire de Sainte Lucie « . Robert a fondé en 1961, le Centre de Recherches de Sainte Lucie. Il a été l’un des membres fondateurs du St. Lucia National Trust dont il a été le directeur de 1977 à 1994. Il a eu l’honneur de recevoir une bourse de la fondation Paul Harris et la décoration de la M et C Fine Arts, aussi comme reconnaissance de son entrée au Panthéon des grands acteurs en faveur du tourisme. Robert recevait toujours avec chaleur et cordialité tous ceux qui lui rendaient visite. Nous adressons nos plus vives condoléances à son épouse Pam et à sa famille.
  • Peter Drewett
    The sad news has reached us that Peter Drewett died on 1st April, 2013. Peter is known to IACA for his work in Barbados, Tortola and the Cayman Islands. He was Head of the Prehistory Department and Fieldwork Tutor at the Institute of Archaeology, University College London, before becoming Professor of Archaeology at Sussex University. His work in Barbados (a joint Institute of Archaeology – Barbados Museum project) began in 1984, and included numerous sites, in particular Chancery Lane, Hillcrest, Silver Sands and Heywoods/Port St. Charles. A 25th anniversary celebration was held at the Barbados Museum in 2009. The Tortola excavations lasted from 1994 to 2004. Peter’s record of publication was exemplary.
    In all his Caribbean digs he worked in partnership with his wife Lys, project artist and illustrator, and sometimes with his sons Abel and Dan as well. Our sympathy goes to all of the family.Chers membres de l’IACA:
    Je viens d’apprendre avec beaucoup de tristesse la disparition de notre collègue Peter Drewett. Bien qu’il ait rejoint l’AIAC/IACA que tardivement, Peter a été l’un des meilleurs contributeurs à l ‘archéologie de la Barbade. En ce qui concerne le passé précolombien et colonial de cette île les travaux de Peter et de ses étudiants resteront des publications de référence. Peter quoique réservé, comme savant l’être tous les britanniques, savait s’amuser une fois le travail achevé. A sa femme, à sa famille je transmets mes condoléances les plus sincères.
    Dr. H. Petitjean Roget